30 oct. 2019

SUJET Nº2 B1



Le ministre de l'Agriculture appelle à une consommation "patriotique"


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Invité dans la matinale de France Inter, le ministre de l'Agriculture, Didier Guillaume, a appelé les consommateurs à faire un "choix patriotique". 

La loi issue des États généraux de l'alimentation, en application depuis début 2019, veut "obliger" à une meilleure répartition de la valeur entre les différents maillons de la chaîne, producteurs, transformateurs, distributeurs. Elle parie notamment sur un strict encadrement des promotions et une interdiction des ventes à perte sur les produits de très grande consommation. Elle mise aussi, mais sans coercition, sur une meilleure prise en compte par les distributeurs du coût de production des agriculteurs et industriels de l'agroalimentaire pour fixer leurs prix de vente.
"Mis à part Michel-Édouard Leclerc qui n'avait pas accepté les conclusions des États généraux de l'alimentation, tout le monde les avait acceptées", a souligné le ministre. 

27 oct. 2019

SUJET Nº1 B1


L'homme qui avait décapité un coq vivant avec les dents 

condamné à 80 heures de travail d'intérêt général





Photo d'illustration

Le champion de pelote basque filmé en train d'arracher la tête d'un coq vivant avec ses dents a été condamné ce vendredi à 80 heures de travail d'intérêt général. Une peine jugée "un peu limite" par la Fondation Brigitte Bardot.

Un jeune homme de 22 ans, filmé en juin dernier en train d'arracher la tête d'un coq vivant avec les dents, a été condamné vendredi à Bayonne à 80 heures de travail d'intérêt général à effectuer dans les 18 mois. Poursuivi pour "actes de cruauté envers un animal", ce joueur de pelote basque de haut niveau avait choisi la procédure de reconnaissance préalable de culpabilité.

2 oct. 2019

SUJET Nº1 B2.2


L'accès à un bus refusé à une femme en jupe ? La RATP ouvre une procédure disciplinaire

Les faits se seraient déroulés mardi soir, près du parc des Buttes Chaumont (XIXe) à Paris (Image d'illustration): le chauffeur mis en cause va être entendu par la régie des transports parisiens.
Les faits se seraient déroulés mardi soir, près du parc des Buttes Chaumont (XIXe) à Paris (Image d'illustration): le chauffeur mis en cause va être entendu par la régie des transports parisiens.
 
afp.com/Loic Venance

Un chauffeur accusé d'avoir empêché une femme de monter dans son véhicule fait l'objet d'une procédure disciplinaire. Le conducteur dément cette version des faits.

Un chauffeur de bus de la RATP a-t-il refusé l'accès à son véhicule à une jeune femme à cause de la longueur de sa jupe ? L'accusation, relayée sur un réseau social par le père de l'intéressée, est prise très au sérieux par la régie des transports parisiens, qui vient de lancer une procédure disciplinaire à l'encontre du mis en cause. 
La régie des transports parisiens a indiqué ce dimanche que "le machiniste, entendu par sa hiérarchie [samedi soir] ne reconnaît pas les faits tels qu'ils ont été présentés dans la presse". Il reconnaît toutefois "une faute de service", soit d'avoir refusé d'ouvrir les portes à deux jeunes filles "à une heure tardive". 

"Tu n'as qu'à bien t'habiller"

Dans un communiqué commun diffusé samedi, la ministre des Transports, Elisabeth Borne et la secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, évoquent des faits "d'une grande gravité" s'ils "étaient confirmés". Dans ce texte, il est par ailleurs précisé que la RATP a "contacté l'auteur du signalement".