19 déc. 2016

Débat Nº 3 2016-2017

Alicia Aylies ("Miss France 2017"), victime de racisme, répond à ses détracteurs


L'élection Miss France 2017 aura beaucoup fait parler. A la suite de l'élection ce samedi 17 décembre d'Alicia Aylies, Miss Guyane, au titre de Miss France à l'Arena de Montpellier, certains internautes ont tenu des propos racistes en faisant référence aux origines de la jeune femme. "La France est Européenne et la femme qui est censée la représenter est Africaine. Qui peut trouver ça normal?" soulignait un internaute tandis qu'un autre faisait savoir qu'il aurait préféré que "la demoiselle qui représente la France soit de race caucasoïde". Des tweets qui ont fait bondir bon nombre d'internautes à l'instar de Gérard Jugnot.
Au micro d'Europe 1, Alicia Aylies a brisé le silence au sujet de ces remarques très déplacées. Dans le Grand Direct des médias, celle qui a été élue comme la "plus belle femme" de France a réagi à certains propos très choquants postés sur la toile. "Les gens avaient peut-être besoin de voir une Miss France de couleur" a-t-elle commenté. De son côté, Sylvie Tellier applaudit "la victoire de la beauté de la femme, peu importe la couleur de sa peau". "L'année dernière, on avait reproché à Iris (Miss France 2016, ndlr) d'être plus jolie que bronzée. Cette année, on montre que l'Outre-mer a gagné et moi je suis ravie" a-t-elle ajouté.

RÉAGISSEZ!

23 nov. 2016

Débat Nº 2 Novembre 2016

Réagissez à ce fait divers...

Un "petit garçon chiant" à vendre sur Le Bon Coin


Samedi, une habitante de la région d'Angers, dans le Maine-et-Loire, surfait tranquillement sur le web lorsqu'une annonce du Bon Coin l'a fait bondir :

"À vendre petit garçon chiant avec bonnet breton et un doudou qui pue". L'annonce, localisée à Angers même, était accompagnée de la photo d'un enfant âgé de 8 à 10 ans parfaitement identifiable.

Choquée, l'Angevine a prévenu la gendarmerie.

Les forces de l'ordre ont pris cette affaire au sérieux et, après enquête, elles sont parvenues à identifier l'auteur de cette blague de mauvais goût.

Entendus par les gendarmes, ce dernier a expliqué qu'il voulait juste faire une blague au fils d'un ami.

Ce qui n'a pas fait rire du tout la gendarmerie et le parquet d'Angers qui envisage des poursuites.


2 oct. 2016

Débat Nº 1 octobre 2016

Jugée sexiste, une publicité sur le nouveau Bercy retirée à Paris
Publié le 23/10/2015 à 13:06
Le figaro.fr
Entièrement rénovée, l'AccorHotels Arena (ex-POPB) a été inaugurée la semaine passée avec le Tournoi de judo de Paris après deux ans de travaux. Le groupe hôtelier qui a obtenu le contrat de naming (achat du nom par une marque) du complexe, a accompagné l'événement avec le lancement d'une campagne de publicité qui a rapidement été à l'origine d'une polémique sur les réseaux sociaux.
Dans le métro parisien, on pouvait ainsi découvrir une double affiche avec, d'un côté la joueuse de tennis russe Victoria Azarenka recroquevillée sur le court de tennis après sa victoire à l'Open d'Australie 2012, et de l'autre, la légende: «Le seul lieu où les femmes sont à vos pieds.» Tollé immédiat sur Facebook. Jugée sexiste, la campagne a été dénoncée et une pétition en ligne a rapidement vu le jour sur internet.
Le slogan du groupe Accor est d'autant plus incompréhensible qu'aucun tournoi de tennis féminin ne s'est déroulé ces dernières années dans la salle inaugurée en grandes pompes par Anne Hidalgo, la maire de Paris. Et la WTA ne projette pas non plus d'y organiser une compétition à l'avenir. Pourquoi, alors, faire référence au tennis féminin alors que dans quelques jours, l'ancien Bercy abritera l'habituel tournoi hommes, le PNB Paribas Masters?

La polémique a vite dépassé le simple brouhaha permanent des réseaux sociaux. Christophe Najdovski, maire-adjoint de Paris, chargé des transports et de l'espace public, s'est fendu d'un tweet pour s'étonner de la présence de ces affiches. Vendredi en fin de matinée, l'adjoint à la mairie de Paris en charge des sports et du tourisme, Jean-François Martin, a mis un terme à la polémique en annonçant le retrait pur et simple des affiches dans la capitale, jugeant cette campagne «regrettable et malheureuse.»
QU'EN PENSEZ-VOUS? RÉAGISSEZ.


10 mai 2016

Débat Nº 6 2015-2016



Pour Daljinder Kaur, il n’y a pas d’âge pour être mère. Cette Indienne de 70 ans vient de donner naissance à son premier enfant, un petit garçon né le 19 avril dernier. «Dieu a entendu nos prières. Ma vie est désormais bien achevée. Je m’occupe seule de mon enfant, je me sens tellement pleine d’énergie. Mon mari est très attentionné et m’aide autant que possible», a-t-elle expliqué à l’AFP. Le bébé est «en bonne santé et plein d’énergie». À la naissance, il pesait deux kilos.
Le couple, marié depuis 46 ans, avait tenté dans le passé d’avoir un enfant, mais sans succès. «Quand on a vu la publicité pour la FIV, on s’est dit que l’on devrait essayer, étant donné que je voulais vraiment avoir un bébé», a-t-elle poursuivi. Le couple, qui vit à Amritsar, a donc eu recours à une fécondation in vitro en utilisant leurs propres ovules et sperme, dans une clinique spécialisée de l’État de l’Haryana, dans le nord de l’Inde.
«Les gens se demandent ce que deviendra l’enfant une fois que nous serons morts. Mais j’ai foi en Dieu. Dieu est tout puissant et présent, il s’occupera de tout», a de son côté expliqué Mohinder Singh Gill, le père du bébé.

Une Allemande mère de quadruplés à 65 ans 

Tous les pays ne permettent pas le recours à la fécondation in vitro passé un certain âge pour les futures mères. Afin de contourner cet obstacle, une Canadienne de 60 ans s’était rendue en Inde en 2008 pour être inséminée. Elle avait accouché sept mois plus tard de jumeaux, nés avec sept semaines d’avance.
L’an dernier, une Allemande de 65 ans a donné naissance à des quadruplés. Annegret Raunigk, déjà mère de 13 enfants et sept fois grand-mère, avait subi un traitement en Ukraine afin de mener à bien cette grossesse tardive. Mais les enfants étaient nés très prématurés et avaient dû être suivis en hôpital pendant plusieurs semaines.

22 févr. 2016

Forum Nº 4 Pour ou contre la réforme de l'orthographe?

La réforme de l'orthographe : pour ou contre ? 

Ecoliers, nous avons tous souffert des difficultés de la grammaire et de l'orthographe. Mais, cela ne nous rend-t-il pas cette langue plus belle? 

Contre. Le principe du nivellement par le bas me hérisse. Comme l'invasion de l'anglais (ou faux-anglais) à la télévision. Le "prime", "inside" et le reste.... Comme la ponctuation ! Il y a une différence entre "Je ne veux pas mourir idiot" et Je ne veux pas mourir, idiot", non ? Entre un "chat" et un "chas", il y a un trou. Entre "chez" et "chais", il y a des pépins, Entre "pêcher" et "pécher", il y a un noyau. Oui, c'est difficile, mais c'est comme le vélo, on s'habitue et cela devient bien agréable de ne pas se heurter à ce qu'on lit. 

Pour. Evidemment pour !!! En tant qu'enseignant et linguiste, il faut affirmer haut et fort qu'il est tant de dépoussiérer notre orthographe. Nivellement par le bas ? C'est drôle mais en 1740 les écrivains et lettrés ont accepté plus facilement la réécriture de 5000 mots à l'époque sans que l'on parle de catastrophe nationale. Idem pour la réforme de 1835 et de 1878. J'invite les partisans de l'ancienne orthographe à écrire comme on le faisait au XVIIe siècle. Ils " auroient l'air pédans !! Que celuy qui par bestise ne veut point s'en faire l'advocat, devra escrire le françois comme au temps de Molière". Ignares sont ceux qui confondent codage d'une langue avec la richesse de son vocabulaire ! Heureusement, les Belges et les Canadiens n'ont pas attendu 2016 pour appliquer cette réforme. Vive la réforme et vive la langue française qui est une langue VIVANTE !!!






21 janv. 2016

Forum Nº 3: Pour ou contre le travail dominical ?

Écoutez les arguments des uns et des autres et donnez votre opinion sur la question.

http://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/travail-le-dimanche/travail-dominical-coup-d-arret-pour-les-accords-de-l-enseigne-fnac_1278389.html



À peine signé, l'accord est déjà mort-né. La Fnac est divisée entre deux camps syndicaux : ceux qui acceptent le travail le dimanche comme la CFDT ou la CFTC, et ceux qui s'y opposent et bloquent tout accord, comme la CGT et FO. Les salariés que France 2 a rencontrés sont tout autant partagés que leurs représentants.

Pas question de renoncer à certains grands principes

La direction pensait avoir suffisamment proposé de contreparties pour convaincre. À Paris et dans les zones touristiques, le texte fixait 12 dimanches par an payés triple, les 40 autres dimanches de l'année payés double. Le travail dominical était prévu sur la base du volontariat, avec des frais de garde d'enfants et de taxi pris en charge par l'entreprise. Mais aucun recours compensateur n'était prévu. Pour les syndicats opposés à l'accord, il n'était pas question de renoncer à certains grands principes. La Fnac n'est pas une exception. Dans de nombreux magasins parisiens, les négociations ont échoué.