24 janv. 2019
22 janv. 2019
DÉBAT Nº10 NIVEAU BASIQUE
Regardez le reportage "Sous l'océan, le rêve aquatique de Duba¨" à partir de 8 mn 03
16 janv. 2019
4 janv. 2019
DÉBAT Nº9 NIVEAU INTERMÉDIAIRE
Cet emballage nouvelle génération va vous impressionner autant que vous dégoûter, on vous aura prévenus
Oui, parfois l’évolution dépasse notre imagination. Il existe un matériau 100% biodégradable et comestible fabriqué à partir de la fermentation de bactéries. Et dans un futur pas si éloigné, il pourrait bien devenir l’emballage de référence. Glurps.
Les progrès technologiques vont vite, très vite, trop vite ? En tout cas, on n’est pas toujours prêts psychologiquement pour certaines choses. Et c’est le cas avec ce sachet. Parce que ce n’est pas n’importe lequel. Celui-ci a été fabriqué à partir de la fermentation de… Bactéries. Bon appétit bien sûr !
Donc oubliez le plastique qui déborde de nos poubelles, pollue les océans et étouffe les animaux. Il s’agit au contraire d’un matériau respectueux de l’environnement qui pourrait bien être la solution pour réduire en masse nos déchets. On ne va pas se mentir, à première vue ce n’est pas très ragoûtant. Surtout quand on sait que cet emballage biologique est destiné à contenir de la nourriture et est lui-même… comestible. On revient, on ne se sent pas très bien d’un coup.
L’idée du siècle ?
Cette invention, on la doit à la désigner polonaise Roza Janusz. Alors évidemment qu’on doit se réjouir puisque ce contenant vivant est entièrement biodégradable. Il a été conçu en modifiant le procédé utilisé pour fabriquer du kombucha, comprenez un mélange de bactéries, levures et autres micro-organismes. Il pousse quasiment comme un légume. Grâce à un procédé de fermentation, les composés organiques forment une membrane au bout de deux semaines. Huuuummmm bonjour les bébés microbes qui doivent grouiller là-dedans !
Cette invention, on la doit à la désigner polonaise Roza Janusz. Alors évidemment qu’on doit se réjouir puisque ce contenant vivant est entièrement biodégradable. Il a été conçu en modifiant le procédé utilisé pour fabriquer du kombucha, comprenez un mélange de bactéries, levures et autres micro-organismes. Il pousse quasiment comme un légume. Grâce à un procédé de fermentation, les composés organiques forment une membrane au bout de deux semaines. Huuuummmm bonjour les bébés microbes qui doivent grouiller là-dedans !
Cette membrane beige est ensuite séchée et devient malléable afin de prendre la forme souhaitée. Elle empêche l’oxygène de passer, ce qui est la principale source de décomposition de la nourriture. Un peu comme la peau d’une pomme. Tout le monde peut en faire, la preuve.
DÉBAT Nº8 NIVEAU AVANCÉ
Vous avez un doute sur une photo ou une vidéo qui circule sur Internet ? Voici quelques conseils pour vous aider à y voir plus clair.
Dans le contexte actuel, et alors que nous sommes en permanence abreuvés d'informations provenant des réseaux sociaux et dont les sources sont parfois difficilement identifiables, il peut être nécessaire de mettre en lumière certains outils vous permettant d'estimer telle ou telle information qui se présente à vous. Parmi lesquelles, les photos ou les vidéos. Elles prennent une part de plus en plus importante dans notre consommation de l'information et peuvent, en quelques clics, faire le tour des réseaux sociaux, sans que l'on sache vraiment qui se cache derrière, ni dans quel contexte elles ont été prises.
Depuis février 2017, Le Monde a lancé Le Décodex, un outil visant à lutter contre la diffusion virale de fausses informations. Concernant les photos et les vidéos, Le Décodex donne plusieurs conseils :
1) Garder à l'esprit qu'une image ou qu'une vidéo n'est pas une preuve en soi : comme toute information, ces médias peuvent être sujets à interprétations ou manipulations
2) S'interroger sur le contexte dans lequel la photo a été prise ou la vidéo tournée : demandez-vous qui est l'auteur de la photo ou de la vidéo, dans quel lieu elle a été prise, à quelle date... Plus vous réunirez d'informations autour du média, plus vous serez capable de lui accorder du crédit ou non.
3) Vérifiez si l'image ou la vidéo n'a pas déjà été partagée auparavant : depuis le début du mouvement des "gilets jaunes", certaines images ont été diffusées sur les réseaux sociaux par des personnes expliquant les avoir prises lors de manifestations ayant trait au mouvement de contestation. Or, certaines de ces photos dataient en réalité de plusieurs mois, voire de plusieurs années. Pour vérifier si une image a déjà été partagée auparavant, il existe un outil simple de recherche inversée sur Google Images. Il vous suffit d'entrer le lien URL de la photo dans le moteur de recherche, et il ira chercher les contenus identiques autour de cette photo (vous pouvez vous aider de ce tuto vidéo pour réaliser l'opération) . Vous pourrez donc comparer les différentes informations sur la même photo et mettre du contexte autour de l'information qui vous est donnée. Il existe un outil similaire, développé par Amnesty International, pour les vidéos.
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