Janvier 2013, encore nous sommes plongés dans une crise qui semble interminable et… dans ces 13 mot, seulement 13 mots, est enfermée la recette qui, bien mijotée, pourrait nous conduire jusqu’à la solution. Mais, revenons au monde réel: ce sont précisément ces conjontures celles qui les riches profitent d’accroître ses richesses et d'approfondir un peu plus dans l’abîme qui sépare les deux mondes puisque le 20% de la population mondiale (Habitants des pays appelés “développés”) accapare le 80% des richesses!
Je suis d’accord avec Colette. Même si la phrase est logique, elle est naïve. En tant que principe, l’affirmation est très bien mais comment pourrions nous convaincre aux riches de partager son bonheur avec les autres? La vraie nature humaine, c’est l’égoïsme : plus on en a, plus on en veut. Les aisés se détachent de ses biens que pour gagner plus. En fin, l’humanité est condamnée à vivre divisée par deux, ceux qui ont tout et ceux qui n’ont pas une tune.
Je voudrais pour 2013 que beaucoup de Gandhis espagnols se lèvent pour dire que nous ne voulons pas que la majorité des gens qui avant vivaient simplement, soient condamnés maintenant à vivre de plus en plus dans la pauvreté et la perte leurs droits du fait que les riches, les directeurs de banques et les politiciens volent tout ce qu’ils trouvent dans une totale impunité. Je ne suis pas d’accord avec Schtroumpf à Lunettes car je ne veux pas me résigner à voir comment les marchés financière, avec la complicité politique, escroquent toute la population. Une minorité de personnes dépourvues d’éthique, mènent une vie insultante grâce à la spoliation massive de tous les habitants.
Une pensée jolie mais très lointain de la réalité , c'est une chimère. Malheureusement, les riches vivent dans son propre monde aliéné de la réalité des pauvres. Il existe depuis toujours des différences notables entre les riches et les pauvres; l'argent est une drogue qui provoque addiction, une personne veux chaque fois de plus. Je voudrais laisser une question ouverte en référence à ce qui dit Schtroumpf à Lunettes, vous pensez que les riches sont vraiment heureuses?
PM1 C’est la grammaire celle qui nous peut donner des clés pour réfléchir. Si on cherche l’adjectif « simple » dans le dictionnaire, on peut trouver parmi leurs définitions que simple signifie ce « qui est réduit à l’essentiel, sans recherches, sans apprêt, sans surcharges ni ornements inutiles » (d’où vient l’adverbe « simplement ») , alors la petite partie de la société qu’on appelle « les riches » éthiquement devraient réduire « les ornements inutiles » voie impôts pour que les pauvres puissent simplement (« sans complication » nous dit le dictionnaire si nous cherchons directement l’adverbe) vivre. Il y a une très important question moral à résoudre : une société où les riches s'enrichissent jusqu'à des limites honteuses pendant des périodes de crise, tandis que les pauvres tombent dans la misère, est juste ?
Janvier 2013, encore nous sommes plongés dans une crise qui semble interminable et… dans ces 13 mot, seulement 13 mots, est enfermée la recette qui, bien mijotée, pourrait nous conduire jusqu’à la solution.
RépondreSupprimerMais, revenons au monde réel: ce sont précisément ces conjontures celles qui les riches profitent d’accroître ses richesses et d'approfondir un peu plus dans l’abîme qui sépare les deux mondes puisque le 20% de la population mondiale (Habitants des pays appelés “développés”) accapare le 80% des richesses!
Je suis d’accord avec Colette. Même si la phrase est logique, elle est naïve. En tant que principe, l’affirmation est très bien mais comment pourrions nous convaincre aux riches de partager son bonheur avec les autres? La vraie nature humaine, c’est l’égoïsme : plus on en a, plus on en veut. Les aisés se détachent de ses biens que pour gagner plus. En fin, l’humanité est condamnée à vivre divisée par deux, ceux qui ont tout et ceux qui n’ont pas une tune.
RépondreSupprimerJe voudrais pour 2013 que beaucoup de Gandhis espagnols se lèvent pour dire que nous ne voulons pas que la majorité des gens qui avant vivaient simplement, soient condamnés maintenant à vivre de plus en plus dans la pauvreté et la perte leurs droits du fait que les riches, les directeurs de banques et les politiciens volent tout ce qu’ils trouvent dans une totale impunité. Je ne suis pas d’accord avec Schtroumpf à Lunettes car je ne veux pas me résigner à voir comment les marchés financière, avec la complicité politique, escroquent toute la population. Une minorité de personnes dépourvues d’éthique, mènent une vie insultante grâce à la spoliation massive de tous les habitants.
RépondreSupprimerSuper, voilà un bon début... Allez les autres!!! Votre prof.
RépondreSupprimerUne pensée jolie mais très lointain de la réalité , c'est une chimère.
RépondreSupprimerMalheureusement, les riches vivent dans son propre monde aliéné de la réalité des pauvres. Il existe depuis toujours des différences notables entre les riches et les pauvres; l'argent est une drogue qui provoque addiction, une personne veux chaque fois de plus.
Je voudrais laisser une question ouverte en référence à ce qui dit Schtroumpf à Lunettes, vous pensez que les riches sont vraiment heureuses?
PM1
RépondreSupprimerC’est la grammaire celle qui nous peut donner des clés pour réfléchir. Si on cherche l’adjectif « simple » dans le dictionnaire, on peut trouver parmi leurs définitions que simple signifie ce « qui est réduit à l’essentiel, sans recherches, sans apprêt, sans surcharges ni ornements inutiles » (d’où vient l’adverbe « simplement ») , alors la petite partie de la société qu’on appelle « les riches » éthiquement devraient réduire « les ornements inutiles » voie impôts pour que les pauvres puissent simplement (« sans complication » nous dit le dictionnaire si nous cherchons directement l’adverbe) vivre. Il y a une très important question moral à résoudre : une société où les riches s'enrichissent jusqu'à des limites honteuses pendant des périodes de crise, tandis que les pauvres tombent dans la misère, est juste ?