Je vous l’avoue d’emblée, mes chers copains : après avoir lu le baratin de cette troupe de bateleurs sur les pages lourdes de ce forum, je suis plutôt abasourdi. Dites-moi « démodé », « anachronique » ou même « antédiluvien » si vous voulez, mais moi, je préfère remonter à la source de la question, c’est-à-dire, à l’article « Un essai thérapeutique de médicament tourne au drame à Rennes » avant d’affirmer quoi que ce soit à propos de « vendre, ou pas, son corps à la science » car je ne suis pas médecin, non plus scientifique… et, pour couronner le tout, le sujet est assez complexe, nom de Dieu !
Malgré tout, à mon humble avis, on peut parfaitement se remettre à l’humain, en ce cas-là, on peut aussi faire appel au sens commun pour aborder le sujet. Pourtant, j’aimerais être assez drastique. Pourquoi ? Tout d’abord, parce les faits historiques autour du docteur Josef Mengele, le surnommé « Ange de la Mort » d’Auschwitz, m’ont venu à l’esprit. Mais ne me demandez pas pourquoi. Aucune idée. Ensuite, parce que la plupart de nous désire aujourd’hui sauvegarder sa bonne santé. Alors, vu tout ça, j'ose affirmer, vu qu’on ne peut pas avoir à la fois le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière : Mort aux essais précliniques sur l’homme, devenu un rat cobaye exposé à la mort. Mort aux essais précliniques qui donnent la priorité au profit financier en négligeant les risques inouïs. Mort aux multinationales pharmaceutiques tout puissantes qui sont libres de faire ce qu’elles veulent en profitant du besoin économique ou la misère d’autrui.
Mes chers copains et amis, est-ce que tout l’or du monde, de plus en sachant que tout ce qui brille n’est pas or, peut-il "monnayer" le risque de perdre la VIE, bien qu’elle ne soit pas EN ROSE mais toujours BELLE?
Je considère que le fait qu'une personne décide de "vendre" ou de "louer" son corps pour tester de nouveaux médicaments c'est une façon de vouloir gagner facilement de l'argent malgré les risques que cet acte implique. La personne qui opte pour réaliser cette action démontre qu'elle ne valorise pas sa santé et qu'elle n'est pas conscient des conséquences de son action.
On peut constater le drame que récemment a occasionné un essai thérapeutique en France, comme explique l'article une telle affaire est difficile à concevoir si le test du médicament expérimental était dans la phase 1.Qu'est-ce que c'est passé?
C'est vrai que si nous considérons le nombre d'essais qui se réalisent de moyenne par an en France, plus de 1.700,les incidents qui ont lieu au long des années ont été minimes.
D'autre part s'il n'y avait pas de personnes qui se prêteraient comme testeurs volontiers , la science ne pourrait pas aller en avance.À mon point de vue les laboratoires qui expérimentent avec de nouveaux médicaments avant de les tester en personnes ils devraient être sûrs que les effets secondaires ne seraient pas aussi graves.
On peut poser la question du deux points de vue différents: Vendre son corps quand une personne est morte, qu'à mon avis il n'y a pas beaucoup de discussion étant donné que je crois qu'une personne peut décider avant de mourir ce qu'elle veut que se fasse avec son corps. Le deuxième point : rendre son corps en vie à la recherche scientifique implique connaître une série des règles et conditions que doivent accomplir les laboratoires ou entreprises qui font ces recherches scientifiques. Le règlement européen est strict et un médicament avant d'être éprouvé sur les humains, il a passé de différentes phases obligatoires selon la loi qui réglemente ce type des essais. Mais il n'est pas la même chose les recherches "in vitro" ou "in vivo". Il n'est pas la même chose expérimenter chez les animaux ou chez les humains. Les personnes qui rendent son corps à la recherche signent un consentement informé qui explique les pour et les contres de cette action et elles sont libres de le faire. Tous les médicaments passent les contrôles instaurés ( et après le contrôle continue). Malheureusement, encore que le processus soit bien fait on peut exister des failles graves qui personne ne voudrait pas qu'ils se sont passés. Je ne sais pas ce que je ferais, mais je si sais qu'au cas où ma famille ou moi aurions besoin de l'argent pour vivre , celle-ci serait une façon de l'obtenir.
Pour le désastre de Rennes, comme il dit dans l'article: "il s'agit d'un cas exceptionnel". Normalement tous les pas qu'un médicament doit suivre afin qu'il puisse être testé sur d'êtres humains sont parfaitement réglementés et il devrait avoir l'assurance que les possibles effets secondaires du médicament seront dans n'importe quel cas "légers". L'article dit aussi que cela est "une première en France", ce qui veut dire que les protocoles sont bien dessinés et qu'il faudra bien enquêter ce qu'il s'est passé cette fois pour les améliorer.
Le test sur humains est une procédure indispensable pour pouvoir mettre de nouveaux médicaments en vente. Ou est-ce que vous prendrez un médicament sans connaître les possibles effets adverses pour votre santé? Oui, le testeur prend un risque qui peut supposer dans le pire des cas sa mort, mais il est rémunéré. Il y a plein de travaux où les gens risquent d'êtres tués, mais ce sont de travaux nécessaires que quelqu'un doit faire. Il faut penser que ces médecins qui collaborent dans la recherche veulent sauver des vies et qu'ils prendront des mesures pour s'assurer que tout marche bien pendant les tests. Après tout, ils ont bien testé avec d'animaux avant, mais cela est un autre débat.
Je veux ajouter qu'aujourd'hui on n'aurait pas tel variété de médocs pour combattre et prévenir des maladies sans le sacrifice et offre de milliers d'autres qui ont contribué avant de quelque façon.
En ce qui concerne ce sujet je voudrais faire une triple distinction: 1. à mon avis, contribuer à la recherche et le développement de la science en utilisant d’êtres humains ne me pose pas un problème, mais avec deux conditions: ils doivent être déjà malades, et cependant ils n’auront rien à perdre, par contre ils auront beaucoup à gagner. D’outre, ils ne doivent recevoir aucune remuneration pour ça. Ce qui nous mène à la question suivante:
2. si on utilise des personnes pour expérimenter avec de nouveaux médicaments, pour tester les bienfaits, les vertus, les défauts et les effets secondaires de ceux, avec tous les risques que ça entraîne et si les personnes choisies décident de participer seulement pour l’argent. Dans ce cas, je trouve cette pratique très immorale et indécente, car il s’agit toujours de la même chose: les pauvres vus comme les cochons d’Inde des riches, des puissants.
3. Pour finir, je considère que donner le corps à la science, une fois la personne est morte c’est une question complètement différente, que je voudrais définir comme un geste de grande générosité et altruisme, qui démontre une vraie confiance en les autres et en le pouvoir de la science, ainsi qu’une authentique façon de comprendre la vie et la mort, en laissant de côté les religions, la foi et les craintes.
MORT À VENDRE SON CORPS À LA SCIENCE !
RépondreSupprimerJe vous l’avoue d’emblée, mes chers copains : après avoir lu le baratin de cette troupe de bateleurs sur les pages lourdes de ce forum, je suis plutôt abasourdi.
Dites-moi « démodé », « anachronique » ou même « antédiluvien » si vous voulez, mais moi, je préfère remonter à la source de la question, c’est-à-dire, à l’article « Un essai thérapeutique de médicament tourne au drame à Rennes » avant d’affirmer quoi que ce soit à propos de « vendre, ou pas, son corps à la science » car je ne suis pas médecin, non plus scientifique… et, pour couronner le tout, le sujet est assez complexe, nom de Dieu !
Malgré tout, à mon humble avis, on peut parfaitement se remettre à l’humain, en ce cas-là, on peut aussi faire appel au sens commun pour aborder le sujet.
Pourtant, j’aimerais être assez drastique. Pourquoi ? Tout d’abord, parce les faits historiques autour du docteur Josef Mengele, le surnommé « Ange de la Mort » d’Auschwitz, m’ont venu à l’esprit. Mais ne me demandez pas pourquoi. Aucune idée. Ensuite, parce que la plupart de nous désire aujourd’hui sauvegarder sa bonne santé. Alors, vu tout ça, j'ose affirmer, vu qu’on ne peut pas avoir à la fois le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière :
Mort aux essais précliniques sur l’homme, devenu un rat cobaye exposé à la mort.
Mort aux essais précliniques qui donnent la priorité au profit financier en négligeant les risques inouïs.
Mort aux multinationales pharmaceutiques tout puissantes qui sont libres de faire ce qu’elles veulent en profitant du besoin économique ou la misère d’autrui.
Mes chers copains et amis, est-ce que tout l’or du monde, de plus en sachant que tout ce qui brille n’est pas or, peut-il "monnayer" le risque de perdre la VIE, bien qu’elle ne soit pas EN ROSE mais toujours BELLE?
Très cordialement,
Pasteur écrit:
RépondreSupprimerJe considère que le fait qu'une personne décide de "vendre" ou de "louer" son corps pour tester de nouveaux médicaments c'est une façon de vouloir gagner facilement de l'argent malgré les risques que cet acte implique. La personne qui opte pour réaliser cette action démontre qu'elle ne valorise pas sa santé et qu'elle n'est pas conscient des conséquences de son action.
On peut constater le drame que récemment a occasionné un essai thérapeutique en France, comme explique l'article une telle affaire est difficile à concevoir si le test du médicament expérimental était dans la phase 1.Qu'est-ce que c'est passé?
C'est vrai que si nous considérons le nombre d'essais qui se réalisent de moyenne par an en France, plus de 1.700,les incidents qui ont lieu au long des années ont été minimes.
D'autre part s'il n'y avait pas de personnes qui se prêteraient comme testeurs volontiers , la science ne pourrait pas aller en avance.À mon point de vue les laboratoires qui expérimentent avec de nouveaux médicaments avant de les tester en personnes ils devraient être sûrs que les effets secondaires ne seraient pas aussi graves.
Georges Moustaki écrit
RépondreSupprimerOn peut poser la question du deux points de vue différents:
Vendre son corps quand une personne est morte, qu'à mon avis il n'y a pas beaucoup de discussion étant donné que je crois qu'une personne peut décider avant de mourir ce qu'elle veut que se fasse avec son corps.
Le deuxième point : rendre son corps en vie à la recherche scientifique implique connaître une série des règles et conditions que doivent accomplir les laboratoires ou entreprises qui font ces recherches scientifiques.
Le règlement européen est strict et un médicament avant d'être éprouvé sur les humains, il a passé de différentes phases obligatoires selon la loi qui réglemente ce type des essais.
Mais il n'est pas la même chose les recherches "in vitro" ou "in vivo". Il n'est pas la même chose expérimenter chez les animaux ou chez les humains.
Les personnes qui rendent son corps à la recherche signent un consentement informé qui explique les pour et les contres de cette action et elles sont libres de le faire.
Tous les médicaments passent les contrôles instaurés ( et après le contrôle continue). Malheureusement, encore que le processus soit bien fait on peut exister des failles graves qui personne ne voudrait pas qu'ils se sont passés.
Je ne sais pas ce que je ferais, mais je si sais qu'au cas où ma famille ou moi aurions besoin de l'argent pour vivre , celle-ci serait une façon de l'obtenir.
Pour le désastre de Rennes, comme il dit dans l'article: "il s'agit d'un cas exceptionnel". Normalement tous les pas qu'un médicament doit suivre afin qu'il puisse être testé sur d'êtres humains sont parfaitement réglementés et il devrait avoir l'assurance que les possibles effets secondaires du médicament seront dans n'importe quel cas "légers". L'article dit aussi que cela est "une première en France", ce qui veut dire que les protocoles sont bien dessinés et qu'il faudra bien enquêter ce qu'il s'est passé cette fois pour les améliorer.
RépondreSupprimerLe test sur humains est une procédure indispensable pour pouvoir mettre de nouveaux médicaments en vente. Ou est-ce que vous prendrez un médicament sans connaître les possibles effets adverses pour votre santé? Oui, le testeur prend un risque qui peut supposer dans le pire des cas sa mort, mais il est rémunéré. Il y a plein de travaux où les gens risquent d'êtres tués, mais ce sont de travaux nécessaires que quelqu'un doit faire. Il faut penser que ces médecins qui collaborent dans la recherche veulent sauver des vies et qu'ils prendront des mesures pour s'assurer que tout marche bien pendant les tests. Après tout, ils ont bien testé avec d'animaux avant, mais cela est un autre débat.
Je veux ajouter qu'aujourd'hui on n'aurait pas tel variété de médocs pour combattre et prévenir des maladies sans le sacrifice et offre de milliers d'autres qui ont contribué avant de quelque façon.
Émile Zola a écrit:
RépondreSupprimerEn ce qui concerne ce sujet je voudrais faire une triple distinction:
1. à mon avis, contribuer à la recherche et le développement de la science en utilisant d’êtres humains ne me pose pas un problème, mais avec deux conditions: ils doivent être déjà malades, et cependant ils n’auront rien à perdre, par contre ils auront beaucoup à gagner. D’outre, ils ne doivent recevoir aucune remuneration pour ça. Ce qui nous mène à la question suivante:
2. si on utilise des personnes pour expérimenter avec de nouveaux médicaments, pour tester les bienfaits, les vertus, les défauts et les effets secondaires de ceux, avec tous les risques que ça entraîne et si les personnes choisies décident de participer seulement pour l’argent. Dans ce cas, je trouve cette pratique très immorale et indécente, car il s’agit toujours de la même chose: les pauvres vus comme les cochons d’Inde des riches, des puissants.
3. Pour finir, je considère que donner le corps à la science, une fois la personne est morte c’est une question complètement différente, que je voudrais définir comme un geste de grande générosité et altruisme, qui démontre une vraie confiance en les autres et en le pouvoir de la science, ainsi qu’une authentique façon de comprendre la vie et la mort, en laissant de côté les religions, la foi et les craintes.